Aujourd’hui le système économique global sous l’empire duquel nous vivons a été détourné de sa fonction primordiale, qui est l’échange, par une petite minorité de personnes qui a pour objectif ultime l’accaparement global (sur toute la terre), général (qui concerne tous les biens), légal et institutionnel.
Le long chemin vers l’accaparement généralisé a été ponctué d’étapes aussi décisives que discrètes.
La première étape est celle de l’infiltration, puis de la domination des institutions politiques des États par les détenteurs du pouvoir économique. Dans les États concernés (la plupart des États du monde), le système institutionnel étatique a été infiltré – souvent au moyen du contrôle bancaire – par les détenteurs du pouvoir économique, et détourné de sa fonction politique générale, qui est de réguler la vie en société, pour devenir un instrument de captation des richesses ; c’est ce que nous connaissons actuellement sous le vocable d’État profond. Dans la plupart des pays du monde, l’État actuel est l’État profond, c’est-à-dire une réelle ploutocratie cachée derrière une démocratie coquille vide. Cette étape, qui a souvent pris le chemin indirect et sournois du contrôle bancaire, utilise parfois, lorsque c’est nécessaire, des méthodes plus musclées. C’est ainsi que la prise du contrôle étatique par l’oligarchie n’a, historiquement, fait l’économie (sans jeu de mots) d’aucun coup d’État, permanent ou non 1, et est toujours en vigueur dans certains pays d’Amérique latine ; mentionnons par exemple les événements en cours (effondrement économique organisé) au Venezuela, la récente organisation d’une procédure de destitution contre Dilma Rousseff comme présidente du Brésil 2, ou encore la destitution du président ukrainien Viktor Ianoukovitch. La France n’a pas échappé à ce type d’expérience, qui fut rondement menée par l’oligarchie française contre Charles de Gaulle en 1969 3, sans même parler du soutien actif des USA dans le putsch d’Alger par l’OAS, putsch dit des généraux, contre ce même De Gaulle en 1961 4. Toutes les révolutions de couleurs, de fleurs 5 ou autre nom jovial, sont une émanation de cette première tactique consistant, pour les oligarchies – locales ou coalisées –, à s’emparer des institutions étatiques des différents pays du monde.
La seconde étape est celle de la collaboration des élites économiques des différents pays occidentaux. En France, cette étape s’est manifestée dès le début des années 1920, lorsque l’oligarchie locale a sciemment décidé d’abandonner le principe des réparations de guerre, pour adhérer à un système financier plus vaste, plus lucratif et plus discret, qui sera mis en forme en 1930 par la BRI (banque des règlements internationaux) issue du plan Young. Ce montage financier intéressant visait à capter les richesses publiques au moyen de la perception d’intérêts sur des prêts octroyés à l’Allemagne par un conglomérat de banquiers privés ; conglomérat bancaire dans lequel l’oligarchie française était partie prenante. Parmi les principaux artisans de ce montage financier promis à un bel avenir, se trouvent le banquier allemand Hjalmar Schacht et le banquier anglais Norman Montagu 6. Les prêts accordés par la BRI (banque des règlements internationaux) ont permis le miracle économique de l’Allemagne nazie, ainsi que le réarmement de ce pays vaincu. Ainsi, le premier quart du XXe siècle a vu naître la fusion des oligarchies occidentales. Depuis lors, avec une nette accélération depuis la mise en œuvre des institutions de Bretton Woods (FMI, Banque mondiale etc.), la domination par la concentration des richesses financières n’a fait que croître et embellir partout sur la planète.
La troisième étape est celle de la collaboration des élites des pays non européens – et non affiliés d’office par des guerres (comme le furent, par exemple, le Japon ou la Corée du Sud) –, tels la Chine, les pays du Golfe persique, du Moyen-Orient etc. C’est la collaboration des élites américaines et chinoises – sous le gouvernement de Mao Zedong – qui explique par exemple la naissance, dans les années 1970, du concept de Chine-usine du monde. Nous pourrions également illustrer cette étape par le pacte faustien dit de Quincy du 14 février 1945, entre Franklin Roosevelt et Ibn Saoud.
La quatrième étape est celle de la création institutionnelle de bloc continentaux supranationaux. L’Union Européenne, qui est l’institutionnalisation et donc l’avènement politique du principe du libre-échange, en est la manifestation la plus réussie 7. Cette étape suppose la disparition institutionnelle du concept d’État, au sens où celui-ci est doté d’un gouvernement indépendant. L’Union européenne est prévue pour évoluer en grand marché transatlantique 8 ; avant que celui-ci ne fasse sa jonction économique, juridique et institutionnelle avec son homologue, le grand marché trans-pacifique.
La cinquième et dernière étape sera la matérialisation institutionnelle de cet accaparement généralisé, par l’avènement d’institutions mondiales, connues sous le nom de Nouvel ordre mondial. Les institutions financières issues des accords de Bretton Woods, la BRI (banque des règlements internationaux), l’OMC (organisation mondiale du commerce) et certaines institutions de l’ONU, sont les éléments précurseurs de ces futures institutions mondiales. Les institutions mondiales auxquelles aspirent les tenants du pouvoir économique global – qui répondent au seul qualificatif d’accapareurs – seront, par construction, totalement dénuées de contre-pouvoirs et organisées autour de la domination totale des accapareurs.
Dans ce schéma d’ensemble, la propriété privée a été, comme beaucoup d’autres concepts juridiques – libre-échange, entreprise capitalistique, banque selon son actuelle conception fondée sur l’enrichissement sans cause, banques centrales etc. –, utilisée par les accapareurs comme un leurre à destination des masses, permettant à l’oligarchie de prendre discrètement le pouvoir. Ce qui signifie très exactement que la propriété privée n’est pas en soi mauvaise pour les peuples. Le concept de propriété privé n’a pu être efficacement utilisé comme instrument, que parce qu’il était utile et efficace en termes d’organisation sociale ; la propriété privée, officiellement proclamée pour tous, a, dès son apparition légale, largement fait l’objet d’un consensus social. Le problème a commencé à se poser dès qu’il a fallu mettre en pratique la théorie proclamée universelle de la propriété privée. Ainsi, historiquement en France, cette propriété officiellement proclamée par la Révolution française n’a concrètement pas été destinée de façon uniforme à tous les particuliers : elle a essentiellement été mise en œuvre au profit de riches commerçants, lesquels ont évolué au fil du temps en oligarchie 9. Le grand principe universellement proclamé s’est finalement concrètement conclu par une captation des richesses économiques anciennement détenues par la petite noblesse et le clergé, au profit des commerçants/banquiers, souvent alliés à la grande noblesse. Rappelons au passage que les grands féodaux ont, historiquement, toujours été de grands ennemis de la couronne de France, c’est-à-dire du Roi de France. Le Royaume de France a été vaincu par une coalition interne des grands féodaux avec les banquiers/commerçants. De la même façon, c’est la coalition de grands banquiers (oligarques) et de grands féodaux républicains (ceux qui détenaient les postes clefs dans les gouvernements républicains) qui a vaincu l’actuel État français en le livrant, pieds et poings liés, à la gouvernance (car le concept de gouvernement indépendant n’existe pas en Union européenne) – structurellement oligarchique – européenne.
Le problème actuel de la propriété privée n’est pas sa mise en œuvre excessive, mais tout au contraire le fait qu’elle est en voie de disparition totale. Ce qui se comprend parfaitement si l’on veut bien remettre l’histoire de la propriété privée dans son contexte socio-historique : créée par les accapareurs pour favoriser leur prise de pouvoir, elle disparaît, maintenant que ladite prise de pouvoir politique est effective. En conclusion, ce n’est pas le concept de propriété qui est en cause, mais son instrumentalisation et surtout sa disparition.
Les services rendus, en termes d’organisation sociale, par le concept de propriété privée
Sans vouloir à tout prix nous ériger en défenseur de la propriété privée, il convient de bien mesurer les avantages politiques et sociaux du concept. Ces avantages sont au nombre de trois : la propriété privée répond, en termes d’organisation sociale, au besoin essentiel d’ascenseur social. La propriété privée est une réponse efficace au besoin essentiel de sécurité. Enfin, la propriété privée est une réponse efficace au besoin de transmission, lequel correspond à la nécessité, pour l’humain, de transcender sa condition éphémère.
Un ascenseur social efficace
La propriété privée répond à la nécessité politique de l’existence d’un ascenseur social dans une société. Cet ascenseur social empêche la fossilisation des situations acquises et permet une juste émulation sociale, dont les résultats profitent à tout le groupe. La notion d’ascenseur social permet un brassage des talents et l’émergence de compétences nouvelles utiles au groupe. L’existence d’un ascenseur social est un gage de vigueur civilisationnelle. Elle existe et a historiquement existé dans toutes les Sociétés dynamiques fondatrices de civilisations.
Supprimer la propriété privée rend nécessaire de repenser intégralement le mode de fonctionnement de la société politique, pour créer un autre type d’ascenseur social fondé sur autre chose : valeur intellectuelle, capacité créative des individus ou des groupes d’individus etc. Encore faudrait-il organiser les possibilités institutionnelles du réel brassage social permettant l’émergence de nouveaux talents parmi la population. En l’état actuel de la situation politique et institutionnelle, en France et plus largement en Occident, une telle évolution est tout simplement impossible.
Par ailleurs et de façon plus générale, les conditions permettant une remise à plat des valeurs sociales ne sont pas réunies car nous sommes actuellement dans un monde en transition ; aucune transition n’est favorable à une remise à zéro de l’intégralité de l’organisation sociale. En d’autres termes, si un nouveau type d’organisation sociale commence dès à présent à émerger, celui-ci n’en est encore qu’à ses balbutiements, il n’est pas suffisamment mature pour pouvoir donner naissance à une nouvelle organisation juridique de la vie en société, car ses atouts et ses dangers n’ont pas encore clairement émergé.
Nous vivons aujourd’hui dans un monde qui valorise le mensonge, la duplicité, l’apparence et tout ce qui ne sert à rien en termes de survie de l’humanité, voire qui accélère la destruction de tout le tissu contextuel nécessaire à la vie. Par opposition, on peut aisément percevoir que ce qui devrait être valorisé est tout ce qui est nécessaire à la vie, mais il s’agit d’une vision globale qui nécessitera d’être testée et affinée. Comme transition entre l’actuelle organisation juridique et institutionnelle et celle de demain, le concept de droit naturel nous paraît être, d’un point de vue à la fois juridique, politique et spirituel, le bon vecteur de cette indispensable évolution. La notion d’ascenseur social ayant émergé comme point d’ancrage de l’histoire des sociétés humaines performantes, il en résulte qu’il est un principe de droit naturel de l’organisation sociale. La propriété privée, en ce qu’elle permet de mettre en œuvre cet ascenseur social, pourrait ainsi, par un effet d’attractivité, être considérée comme une émanation des principes de droit naturel dans l’organisation sociale.
Une réponse efficace à la sécurité nécessaire à chaque individu
Le besoin pour les individus de maîtriser leur environnement immédiat et d’assurer une sécurité matérielle minimale aux leurs, est correctement rempli par le concept de propriété privée. Si l’on veut bien considérer que la capacité d’avoir un toit protecteur contre toute intrusion adverse (aussi bien privée qu’étatique ou autre…) est un besoin élémentaire de l’homme, le concept de propriété privée est un élément fondamental de la sécurité humaine. Rappelons au passage que la sécurité est la mère de la liberté : aucun individu ou groupe d’individu ne peut être libre de penser, de s’exprimer et de s’épanouir socialement, si sa sécurité matérielle n’est pas garantie.
La recherche de sécurité peut aisément être considérée comme le fondement du besoin de possession – actuellement traduit juridiquement par la notion de propriété privée. Dans ce sens, la propriété s’entend comme la capacité de l’individu à agir sur les éléments essentiels à sa survie et à celle de son groupe familial. Le besoin de pouvoir construire et détenir son cadre de vie est également lié à la capacité de projection de l’espèce dans l’avenir, c’est-à-dire au besoin ci-dessous analysé de transmission.
Aujourd’hui, ce n’est pas la propriété privée qui empêche la réalisation de la sécurité matérielle des individus, mais bien sa disparition et son remplacement par le principe d’accaparement, élevé au rang de valeur sociale ultime.
Une réponse efficace au besoin primordial de l’homme de transmettre
Enfin, le besoin de possession, qui prend actuellement la forme juridique de la propriété privée, répond à la nécessité, pour l’individu, de laisser quelque chose à sa descendance ou à la postérité. Le besoin de transmission est, avec celui de sécurité, un élément primordial qu’aucun système de valeur fondateur de société ne peut ignorer.
Dans une société politique – civilisation – digne de ce nom, le besoin de possession, entendu comme vecteur de sécurité et de transmission, doit ainsi être reconnu et encadré. Ce besoin doit en particulier faire l’objet de garde-fou légaux, afin empêcher sa dérive en accaparement. L’accaparement est au droit de propriété ce que le cercueil est à l’homme : la fin. Toutes les civilisations dignes de ce nom ont fait de la lutte contre l’accaparement une priorité. Nous retrouvons des signes de lutte contre l’accaparement dans la politique du grain de l’Égypte antique.
En France, sous la monarchie, la lutte contre l’accaparement était une prérogative que s’était assignée le Roi, en lutte permanente contre d’une part, les grands féodaux et d’autre part, la caste naissante des commerçants/banquiers. Le Roi de France était, par construction, le défenseur du peuple. Les grands féodaux alliés aux commerçants banquiers ont réussi à renverser le système monarchique et à s’imposer comme détenteurs légitimes du pouvoir. Depuis lors, aucun garde-fou juridique de principe n’existe plus en France contre l’accaparement. Cet accaparement a, pour plus d’efficacité, été réalisé sous le couvert de l’anonymat : ce sont des sociétés de capitaux et des trusts anonymes qui ont été les acteurs de l’accaparement et non plus, comme auparavant, des individus nommément désignés.
Au fil du temps, et du renforcement du pouvoir central dédié aux volontés prédatrices de la caste économique dominante, l’accaparement est devenu un phénomène dont l’existence, loin d’être contesté et/ou légitimement mis en cause, est au contraire socialement valorisé. En effet, d’une part, l’anonymat des possédants rend sinon impossible, du moins très difficile le constat de l’accaparement 10. D’autre part cet accaparement a été légalisé, de sorte que sa contestation est devenue impossible : tout le fonctionnement du système bancaire actuel est fondé sur l’enrichissement sans cause des banques, de la même façon que le système dit de banques centrales, structurellement aux mains de banquiers privés (oligarques), réalise une concentration du capital dans quelques mains 11.
Aujourd’hui, le principe d’accaparement, devenu légal, tient, dans nos sociétés ultra-médiatiques, lieu de principe de propriété : nous assistons à un renversement intégral du sens des mots et des concepts. La confusion technique, linguistique et mentale du public est savamment entretenue par les tenants de l’ordre économique, afin que les masses d’individus ne soient jamais un frein à leurs ambitions de pouvoir absolu.
Conclusion
Aucune civilisation ne s’est construite sur l’accaparement, qui est l’anti-civilisation; en d’autres termes, aucune civilisation ne peut voir le jour dans la dépossession permanente et définitive des individus qui la composent. L’accaparement est le plus sûr moyen de la destruction des civilisations. La solution à la dépossession généralisée des particuliers par l’avènement d’un nouveau principe légal d’accaparement, ne se trouve évidemment pas dans la disparition théorique de la propriété privée. On ne résout pas un problème en aggravant ses causes. La nécessité d’organiser des contre-pouvoirs à la caste économique dominante, est une urgence et une nécessité vitale ; la mise en œuvre juridique et institutionnelle effective du principe de propriété fait justement partie de ces contre-pouvoirs, en ce qu’elle permet de contrer le principe d’accaparement sous le joug duquel nous vivons, collectivement, aujourd’hui. Supprimer le concept de propriété privée aurait l’effet exactement opposé à celui recherché.
Afin de ne pas agir comme des alliés objectifs de l’oligarchie qui asservit les peuples, prenons collectivement garde à ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain et à ne pas faire disparaître les concepts de propriété privée ou d’État, simplement sous le seul prétexte que ces principes ne sont plus mis en œuvre. Les institutions occidentales actuelles sont devenues des coquilles vides en raison de leur instrumentalisation par la petite caste des commerçants/banquiers actuellement au pouvoir. Les principes politiques de séparation des pouvoirs, de commerce, de propriété, d’entreprise, d’État etc. n’existent tout simplement plus aujourd’hui.
Valérie Bugault
https://lesakerfrancophone.fr/heurs-et-malheurs-du-concept-de-propriete-privee
Notes
- Pour un panorama des interventions américaines dans le monde, voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Interventions_militaires_des_%C3%89tats-Unis_dans_le_monde ; aujourd’hui encore, les interventions dans les affaires d’États étrangers via des ONG et autres lobbies sont fréquentes : http://lesakerfrancophone.fr/ingerence-des-groupes-de-pression-americains-en-thailande-source-dinquietude-pour-toute-lasie ; http://lesakerfrancophone.fr/la-troisieme-guerre-mondiale-a-commence
- Certains estiment, de façon très convaincante, qu’il s’agit en réalité de l’organisation d’un coup d’État oligarchique contre la présidente en exercice : http://www.les-crises.fr/watch-interview-exclusive-de-lancien-president-du-bresil-lula-da-silva-par-glenn-greenwald
- Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9f%C3%A9rendum_sur_la_r%C3%A9forme_du_S%C3%A9nat_et_la_r%C3%A9gionalisation ; https://www.youtube.com/watch?v=lA9BwSJJY6Q
- Cf. http://www.echomagazine.ch/?option=com_content&view=article&id=68&Itemid=2 ; http://www.lepoint.fr/monde/les-États-unis-auraient-apporte-leur-soutien-a-l-oas-en-1962-18-03-2012-1442450_24.php ; http://www.atlantico.fr/pepites/1962-soutien-États-unis-oas-fln-312439.html
- Cf. Révolution des tulipes par exemple : http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article_interactif/2005/03/22/la-revolution-des-tulipes-de-2005_630240_3216.html ; https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_des_Tulipes
- Lire par exemple : http://www.voltairenet.org/article187537.html
- Sur la naissance institutionnelle de l’actuelle Union européenne, voir par exemple : http://www.relay-of-life.org/fr/pdf-files/rol_fr_chap02.pdf?hc_location=ufi
- Cf. http://www.dedefensa.org/article/obama-en-solde-pour-ttip-a-tout-prix
- Cf. Géopolitique du libre-échange, Géopolitique du concept de propriété privée : de la propriété privée… et Géopolitique du droit de propriété … à la fin de la propriété privée
- Voir nos articles Géopolitique de l’optimisation fiscale, Géopolitique des paradis fiscaux, Géopolitique de l’entreprise : les caractères actuels de l’entreprise capitalistique et Géopolitique de l’entreprise : le renouveau de l’entreprise capitalistique
- Voir à cet égard nos articles Géopolitique du système des banques centrales et Entreprise bancaire, l’instrument juridique du désordre politique global ; pour savoir qui détient actuellement la Réserve fédérale américaine (Fed), lire par exemple : http://reseauinternational.net/voyage-circummonetaire-a-la-recherche-du-roi-dollar-et-decouverte-de-la-caverne-dali-baba/