Les foisonnantes
Les Foisonnantes sont nées d’une initiative collective d’experts et de bénévoles, impliqués dans l’éducation, la santé et le bien-être des jeunes et des familles, autour d’une vision partagée d’un « vivre-ensemble » humainement épanouissant.
Les conférences et tables-rondes, animées par 17 intervenants, abordent des thèmes variés autour de la conscience : de soi, des autres et de l’environnement. La Cour des Lucioles, espace festif et participatif, offre également des spectacles, ateliers et discussions, rendant hommage à l’esprit chaleureux des Foisonnantes.
La vérité sur les « Foisonnantes » et ma réponse aux calomnies
Le 11 octobre dernier, un article dans le journal Libération, signé par Maxime Macé et Pierre Plottu, a choisi de diffuser une vision erronée et polarisée d’un séminaire auquel j’ai participé, « Les Foisonnantes », tenu à Sisteron les 12 et 13 octobre. Cet article, paru avant même que le séminaire ait lieu, révèle l’intention de ses auteurs : non pas informer sur les débats, mais attaquer de manière ciblée ses participants, dont moi-même.
La photo qui accompagne l’article, où je suis la seule visible, induit les lecteurs à penser que je représente l’intégralité de cet événement, ce qui est loin de la réalité. La publication de cette image unique souligne une tentative de m’associer exclusivement aux idées discutées lors de ce séminaire.
L’article en question tente de me présenter comme une extrémiste en raison de deux interventions faites en 2018 et 2020 à la Fête du Pays Réel, un événement organisé par Civitas, dissous en 2023. Dois-je rappeler que ces deux participations isolées ne sont en aucun cas représentatives de mon engagement ? Ces deux événements, vieux de plusieurs années, ne définissent ni mes prises de position ni l’ensemble de mon parcours.
On m’accuse également d’avoir partagé un message en 2022 sur Telegram, alors même que mes interventions publiques ont toujours cherché à promouvoir une réflexion libre et critique. Bien que je n’aie aucun souvenir de cette publication, je suis déterminée à rappeler que mon travail depuis 1995, dans mes ouvrages, éclaire les mécanismes de l’économie mondiale et la concentration excessive du pouvoir. Ce travail repose sur des faits historiques et économiques documentés, et non sur des polémiques anecdotiques.
Afin de rétablir une information équilibrée, j’exerce aujourd’hui mon droit de réponse envers les journaux incriminés en publiant, sur mon site internet, un démenti circonstancié pour chacun des deux journaux (Libération et Streetpress).
Cette publication est faite sans préjudice de la réponse juridique précise envoyée à chacun des deux journaux, corédigée avec l’un de mes avocat, Maître Linda Simonet, et destinée à paraître dans Libération et dans Streetpress.
Afin de garantir une parfaite transparence à mes lecteurs, vous trouverez également sous mes réponses les deux couriers juridiques envoyées en RAR auxdits journaux au titre de mon droit de réponse en vertu de l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse
Réponses officielles de VB (envoyées avec Accusé Réception)
Représentée par Maître Linda SIMONET
Réponse de Philippe GUILLEMANT
Philippe Guillemant : Un physicien visionnaire au cœur de la science de la conscience
Philippe Guillemant, physicien français et ingénieur diplômé de l’École Centrale Paris, est connu pour ses travaux à l’intersection de la physique quantique et de la conscience. Après une carrière en intelligence artificielle et vision artificielle au CNRS, il s’est orienté vers des recherches novatrices sur la nature de la réalité et le libre arbitre. Auteur de plusieurs ouvrages, dont La Route du Temps, il propose une vision audacieuse où la conscience influence la réalité et où passé, présent et futur sont interconnectés.
Reconnu pour ses qualités de vulgarisateur, Philippe Guillemant participe activement à des conférences où il explore les liens entre science et spiritualité. Ses travaux stimulent la réflexion sur la place de la conscience dans la physique moderne, et il inspire ceux qui cherchent à comprendre comment notre perception pourrait influencer les lois mêmes de l’univers.
Dans sa lettre publique, Philippe Guillemant revient sur le succès des Foisonnantes à Sisteron, malgré les tentatives de dénigrement par certains médias comme Libération et BFM. Il dénonce l’acharnement médiatique qui cherche à dissuader le public avec des accusations infondées, qualifiant certains intervenants de « complotistes » ou « extrémistes ». Guillemant souligne que cette diabolisation médiatique est un signe de faiblesse d’un système matérialiste et en perte de sens. Pour lui, ces « clôtures » médiatiques n’ont plus de valeur et ne font que renforcer la conviction de ceux qui aspirent à un avenir plus humain et conscient.